Yassine Loghmari Témoignage D’injustice Vécue Au Centre Médicale Campus Saint Jean D’angely

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Nice, le 18 septembre 2025 – L’écrivain et chercheur franco-tunisien Yassine Loghmari affirme avoir été victime d’une tentative d’hospitalisation forcée, qu’il qualifie de “violation grave des droits humains”, au centre médical du campus Saint-Jean d’Angély, relevant de l’Université Côte d’Azur.

Dans un témoignage détaillé, M. Loghmari relate que l’incident a eu lieu lors d’une troisième séance avec une psychologue universitaire, Anaïs Coronado, qu’il accuse d’avoir exercé des pratiques spirituelles “malsaines et manipulatrices”. Selon ses dires, la séance aurait rapidement dégénéré, et il aurait été conduit, à son insu, dans une chambre du centre médical, dont la porte aurait été verrouillée de manière intentionnelle.

Peu après, deux individus accompagnés d’une ambulance et de policiers se seraient présentés, prétendant vouloir le transférer dans un établissement psychiatrique. “On m’a demandé de me laisser emmener. J’ai refusé”, déclare M. Loghmari. Il affirme que la psychologue aurait invoqué le soutien du Dr Antoine Labarre pour justifier cette intervention.

Face à cette situation qu’il décrit comme une pression psychologique et physique intense, M. Loghmari explique avoir résisté en faisant valoir ses droits, en s’appuyant sur sa connaissance du droit international acquise notamment lors des cours de la professeure Annie-Anouch Beaudouin. Grâce à cela, il affirme avoir pu sortir librement du centre.

Des promesses non tenues et des manœuvres suspectes

L’écrivain accuse également l’assistante sociale du campus, Jessica Chevalier, de l’avoir dirigé vers cette psychologue en échange de promesses d’aides (logement CROUS, soutien financier, exonération des frais d’inscription, emploi étudiant) – des engagements qui, selon lui, n’ont jamais été honorés pendant l’année universitaire 2024-2025.

Lors des séances, poursuit-il, la psychologue aurait nié son statut d’auteur, contesté la parution de ses romans et même mis en doute l’authenticité de ses diplômes tunisiens – des accusations que M. Loghmari rejette fermement, y voyant une tentative de nier son identité intellectuelle et culturelle.

Un appel troublant d’un centre médical externe

Le chercheur évoque également avoir été contacté par une infirmière se présentant sous le prénom Laure, travaillant prétendument pour le centre médical C-DIP à Nice, qui aurait tenté d’obtenir son adresse personnelle pour organiser un “prélèvement forcé”. Alertée que la conversation était enregistrée, elle aurait reconnu agir à la demande du campus Saint-Jean d’Angély.

Un appel à la justice et à la vigilance

“Je ne cherchais pas la confrontation, mais je ne pouvais pas me laisser enfermer sans recours”, déclare M. Loghmari. Il affirme détenir des enregistrements audio et d’autres éléments probants à l’appui de ses accusations.

Note éditoriale et droit de réponse

Les éléments présentés dans ce témoignage relèvent de la version des faits de M. Loghmari. Compte tenu de la gravité des allégations, nous nous conformons aux principes déontologiques en ouvrant la possibilité d’un droit de réponse aux personnes et institutions citées. Toute partie concernée est invitée à faire valoir sa version des faits.

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